Tara n'ouvrit pas tout de suite les yeux. Elle avait passé une très mauvaise nuit et souhaitait vivre encore un instant le rêve qu'elle avait fait. Mais peu à peu, les images de celui-ci se troublairent jusqu'à ce qu'elle n'arrive plus dutout à s'en souvenir. C'est alors qu'elle sentit.
Ce n'était pas l'odeur habituelle de sa chambre. Ni ses draps, ni son matellas. elle ouvrit les yeux alors pris d'une soudaine panique. elle regarda de tout les côtés. elle était dans une chambre avec deux grand lit. Aucune décoration, ni signe disctictif de l'endroit dans lequelle elle pouvait se trouver. Il n'y avait rien d'autre dans la piéce que deux bureaux, deux tables de chevet à côté des lits avec des abats jour et une lampe de poche.
C'est alors qu'elle remarqua deux lettes. Les deux portait son prénom et sur l'une d'elle, elle reconnu l'écriture de sa mère. Une rage intense la saisit soudain. Ses parents étaient dans le coup. L'idée qu'elle fut dans un hopital psychiatrique pointa le bout de son nez, mais chassée par un raisonnement des plus logique.
*On enferme pas deux fous dans la même chambre, se serait trop dangereux.*
Alors elle decida de lire les deux lettres qu'elle avait.
Elle était dans un internat pour un certain temps. Combien exactement? Dieu seul le sait. Le second message était plus mystérieux. Des missons? c'était quoi ça. Elle devait avoir une arme ainsi qu'un téléphone portable. Elle decida de les chercher. En fouillant dans le bureau elle les trouva tout les deux. Enfin, tout les trois. Car son arme était en faite deux cutters, un court et un beaucoup plus long.
Il était temps qu'elle aille visiter cet "internat". Elle se dirigea vers la porte de la chambre et se stoppa net quand elle pris la poignée de la porte. Elle était toujours en pyjama.
Elle alla chercher de quoi s'habiller, elle trouva son sac en bandouillére et en fut heureuse, puis se changea. Elle glissa son pyjama sous les draps de son lit, comme elle le faisait chez elle, par habitude. Elle se résolue à prendre au passage ses armes et le portable.
*Au cas ou...*
Puis elle passa enfin le pas de la porte.
[Le Hall]